Carnet de voyage ... Jour 7 ...

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Lundi 21 septembre 2015.

7ème jour de notre périple au Québec.

En allant en direction de Québec, nous nous sommes arrêtés dans un domaine afin de faire une tite dégustation.

Surprenante. Je n'en dirai rien de plus, c'est une devinette ...

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Magnifique Domaine.

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Drôle de bicyclette !!!

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Après la visite de ce Domaine, nous sommes repartis en direction de Québec, nous nous sommes arrêté pour le déjeuner dans une tite Auberge.

"Laissez-vous transporter dans une autre époque"

L'authenticité et le charme ancestral au coeur de la côte-de-Beaupré.

Nous y avons dégusté de "la soupe aux pois campagnarde", "pâté à la viande et ses marinades", "spaghetti sauce bolognaise", et le fameux "pudding chômeur". Miam ...

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Un endroit authentique, qui a su garder son charme d'antan. Je le recommande.

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Ci-après quelques photos prises en roulant.

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La basilique Sainte-Anne de Beaupré.

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Après le déjeuner, nous sommes allés visiter le parc des Chutes Montmorency.

Cette chute est située à l'embouchure de la rivière Montmorency, où celle-ci se déverse par le rivage en falaise dans le fleuve Saint-Laurent, vis-à-vis de l'extrémité ouest de l'île d'Orléans.

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La chute, d'une hauteur de 83m, est la plus haute de la province du Québec et dépasse de 30m les chutes du Niagara. La profondeur du bassin au pied de la chute est de 17m (beaucoup moins large que les chutes du Niagara), moins imposante surtout.

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La chute est située à l'intérieur du Parc de la Chute-Momontrency.

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Des escaliers (487 marches) permettent de l'observer sous différents angles.

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Panorama depuis les marches.

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Une tite pose.

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En 1759, lors du siège de Québec, une jeune femme de Beauport apprend que son fiancé, un militaire, est tombé sur le champ de bataille. Désespérée, elle se jette dans la chute Montmorency. Ainsi naquit la légende de la Dame Blanche, qui apparaît dans l'écume les soirs de pleine lune.

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La chute a été nommée par Samuel Champlain en l'honneur de l'amiral de France et de Bretagne Charles de Montmorency-Damville, duc de Damville, pair de France, mort en 1612. Champlain lui a dédié le rapport de sa première expédition au Canada eb 1603.

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L'hiver, les vapeurs d'eau se solidifient en périphérie de la chaute qui devient alors un site populaire d'escalade sur glace en plus de créer une importante masse de glace (le pain de sucre) devant la chute.

"Le pain de sucre" en hiver aux pieds des chutes.

Image du Net.

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Une autre chute, plus petite, "le voile de la Mariée".

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En sortant du Parc des Chutes, nous avons traversé la rivière pour nous diriger vers l'île d'Orléans.

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Longue de 34km et large de 8km, elle compte environ 6900 habitants, répartis dans 6 villages.

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L'été, avec la venue des vacanciers ainsi que des travailleurs saisonniers, la population double.

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L'île reste toutefois un lieu fortement agricole avec de nombreuses cultures (pommes de terres, fraises, pommes, légumes, vignes, petits fruits, produits de l'érable,...) est une partie forestière au milieu.

C'est Jacques Cartier qui, en 1535, à la vue de cette île verdoyante, la surnomme "île de Bacchus", en raison des vignes sauvages qui y poussent. Mais bien avant l'arrivée des Européens, les Amérindiens désignaient l'île par le mot alconguin "Ouindigo" qui signifie "coin ensorcelé". Au fil des ans, l'île cumula une série de nom différents. Son nom définitif, soit l'île d'Orléans, on le doit (encore) à Jacques Cartier qui, le 6 mai 1536, la rebaptisa ainsi en l'honneur du Duc d'Orléans, fils du roi de France, François 1er.

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On y découvre des maisons en pierre héritées du Régime français au XVIIIè siècle.

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Prochain post : Québec

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Dictons du jour :

Octobre glacé, fait vermine trépasser.

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Octobre ensoleillé, décembre emmitouflé.

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